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L’écartement du travail (et pas : le congé de maternité) est un régime spécifique qui permet de protéger les femmes enceintes contre certains risques liés au travail, tels que p. ex. la présence de certaines substances chimiques.
Maggie De Block : « Il faudrait avant tout examiner s’il est possible d’effectuer un travail adapté, par exemple, à l’écart de substances dangereuses. Dans la pratique, il est trop souvent fait appel au système des indemnités en mettant les femmes à la maison contre leur gré. »
À l’avenir, l’employeur devra payer 10 % des indemnités. Le but est d’inciter les employeurs à examiner quelles tâches la femme enceinte est encore en mesure d’exécuter au sein de l’entreprise.
Actuellement, les employeurs ne paient un salaire garanti que pendant le premier mois d’incapacité de travail. Si la maladie dure plus longtemps, le travailleur tombe intégralement à charge de l’assurance maladie.
Il ressort de plusieurs articles de presse que la ministre De Block proposerait que les employeurs paient une partie de l’indemnité de maladie entre le deuxième et le septième mois de maladie. L’intervention serait calculée à l’aide d’une méthode compliquée, mais le résultat final reviendrait à une intervention correspondant à environ 10 % de l’indemnité de maladie.
Attention : il ne s’agit là que d’une proposition du cabinet De Block qui doit encore être approuvée par le gouvernement.
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